Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Toys

Aux champignonsAux champignonsMon copain Christian vit à la capitale. Nous nous téléphonons parfois. Ce début d’été, il me sonne pour savoir si 3 ou 4 jours à Chamrousse, pour jouer au tennis me botterait. Pourquoi pas, vers la mi- août ?Ok, ça roule. Seulement, on n’avait pas prévu un truc très con, le brouillard. Le premier jour, on tente le coup. Il y en a au point que tu vois à peine le filet. Tu entends juste la frappe sur la balle et tu la vois au dernier moment. Dégouté, mon pote, il décide de passer l’aprem au pageot. Moi je peux pas, dès la fin du repas je vais au bar. Il n’y a personne. Je me pose dans un fauteuil face au feu de bois, j’adore, et je rêvasse à tout, à rien. Un léger bruit à ma droite. Je soulève les pop’s, ciel une belle et assez grande créature, du sexe opposées se pose sur le canapé 3 places à ma droite et perpendiculaire à mon fauteuil. Elle tient une bd, l’ouvre et bouquine sans dire un mot. J’examine l’intruse. Assez grande, blonde, cheveux mi- longs, habillée montagne, difficile de se faire un avis anatomique. Joli minois, apparemment, vu la déformation du pull, des seins. Je m’amuse à expertiser. 85, 90 peut être, bonnets B, C pourquoi pas. Côté cul, je ne vois rien. Elle se met à rire, seule, et ça dure pas mal. J’y vais, m’assieds à côté, un bras posé au dessus de sa tête sur le dossier du canapé. Faisant comme si j’étais là depuis un siècle elle dit, montrant une vignette :- le capitaine Hadock me fait rire, mais je ne comprends pas toujours..- ce sont des onomatopées, éclairai-je…Elle s’en fout, continue sa lecture, s’occupe pas de moi. Finalement terminé sa lecture, colle le bouquin contre sa poitrine et:- j’aime bien Tintin et avec ce temps ça fait passer un moment. Au mois d’août, c’est bizarre, non ? Je dodeline du chef façon d’acquiescer.- justement, je me proposais de faire un tour en bagnole dans le coin, je vous invite. Il y a peut être des champignons, c’est sympa à chercher. – vous les connaissez ? Moi, pas- je vais vous apprendre…ok canlı bahis ?- yes !Nous sortons, prenons ma caisse, la première route venue, le premier chemin venu, j’arrête et descend. – vous connaissez le coin?- non, j’aime découvrir fais-je tournant le dos pour m’enfoncer dans le bois. Elle enchaine le pas et au bout de 50 mètres, je commence à trifouiller le sol avec un bout de bois. Je lui explique comment, pourquoi, l’humus et touti-quanti, si bien qu’elle fait de même. Et là, je le vois, son cul, et il me parle le bougre. À mon avis, il a pas plus de 25 ans ! Putain de moine…- j’ai trouvé quelque chose, là. Elle est à quatre pattes. J’arrive, mets deux mains sur cet arrière séduisant. – moi aussi !- regardez, c’est un bon ?Je me suis couché sur le dos, le tapis de feuilles est accueillant. – pour voir, passez le moi. Au moment où elle l’approche j’att**** son poignet, l’invite à m’enjamber et à s’asseoir sur moi. Je diagnostique un bolet, mais un Satan, ce qui explique que c’est le diable qui pilote ma main libre sur ses seins. – c’est facile comme explication, rit elle. – pas très pour moi avec vos fringues, si vous m’aidez pas un peu je ne m’en sorts pas…Elle rigole, me trouve gonflé, rapide… Pendant ce temps j’ai réussi à passer mes mains sous le pull, à extirper sa chemise, son tee-shirt de son pantalon et empoigné un sein dans chaque main. Sympa, elle dégrafe le sous-tif, et je peu commencer à peloter, caresser, titiller. Ça s’érige des deux bouts. Pendant ce temps que croyez vous qu’elle fit ? Et bien tout pareil, elle a déboutonné ma chemise et joue avec les bouts de mes seins à moi. Je rappelle que je suis couché sur le dos, qu’elle me chevauche, genoux au sol, nous sommes donc face à face, chacun s’amusant des seins de l’autre. Elle tortille son pétards sur popol et les deux frangines. Subitement elle lâche mes petits bouts, glisse en arrière, s’en prend à ma ceinture, ma braguette :- mais mon pauvre, c’est la crise du logement, je libère vos pensionnaires…J’ai bahis siteleri à peine le temps d’acquiescer, en riant qu’elle te me le lèche, de haut en bas, vice versa, avec une application calculée, faisant part de son plaisir avec des mots incompréhensibles, et elle enchaîne par un bel engloutissement, jusqu’à la garde, au risque de dégueuler. Elle finit par reprendre son souffle, et avant qu’elle récidive, je la tire vers moi, lui bouffe la gueule, les lèvres charnues, augmentées par la fellation et cherche à lui virer le futal. Elle comprend in peto, en une seconde se défait de son habit, sa culotte, m’enjambe à nouveau, mais de dos. Ses bras en arrière elle prend appui sur mon torse, pieds au sol, genoux pliés, elle s’empale avec précaution. C’est ainsi qu’elle maîtrise la situation, en profondeur, et en rythme. Putain, quel délice, en voilà une qui sait vivre, causer aux mâles… Vive la jeunesse, vive les initiatives. Son fourreau est parfait, doux, tiède, lubrifié. Tien, elle s’est jetée en avant, ses mains sur mes chevilles, et elle maîtrise la technique à la perfection, s’enfonce à fond une fois sur 2 ou 3, puis bricole de petits coups moins pénétrants mais plus vifs. Trop bon, je me délecte. J’ai mon honneur, non, je vais pas lui laisser l’initiative jusqu’au bout à cette gamine. Je la bouscule et naturellement elle se retrouve en levrette et c’est moi qui pilote, c’est moi qui règle la manœuvre et j’ai la rage, je venge l’humanité des hommes, des mâles. Elle commence à couiner sévère, à bramer et quand je la sens prête, je calme le jeu. Puis je décide qu’en forêt il faut baiser contre un arbre, c’est un minimum. Je l’adosse au plus proche, lui soulève une patte, et souque comme un soudard, lui re-bouffe les lèvres, lui titille les amygdales. Je la retourne, ce coup ci, elle prend appui contre le tronc avec ses mains et j’admire enfin son cul. Beau, il a la peau blanche légèrement rosée, une peau de vrai blonde. J’ai aussi une superbe vue sur une très belle chatte bahis şirketleri encore entrebâillée, et ma tête chercheuse se présente à l’entrée, négocie du style j’y vais, j’y vais pas, le gland qui musarde, se fait désirer, passe la tronche, ressort, va saluer le clito, l’agace, remet la tronche à la porte d’entrée, laquelle brille de tout son jus. Je reprends les seins en mains, pétris, malaxe, lorsqu’une main quitte le tronc, a juste popol face à l’entrée. Beau cul se recule, s’empale, se tortille et donne la cadence. Impatiente avec ça, ah, la jeunesse ! Donc, je lime, peinard, avec méthode, un peu à droite, à gauche, au fond, au fond du fond. Ça déclenche des ” bon, c’est bon, très bon, trop bon….” Pac, pac, deux grandes claques sur ces jolies fesses. Elles en rougissent, portent même la marque de mes doigts, et ça a déclenché un beau ” aaahhhh, mon dieu”  tonitruant. Évidemment je bourre comme un fou, les fesses claquent contre mon bide, mes couilles servent à limiter l’intrusion. Justement, une main revient, les caresse et subitement les broie, d’un coup…et c’est fatal, j’envoie la purée longuement retenue, et l’autre d’une façon incroyable, bloque ma bite dans son intérieur, par une contraction du vagin incroyable. C’est une sensation curieuse, retenu par la virilité ! Elle en rit, me libère, se retourne avec l’air glorieux de la femme ayant pris un bel orgasme. Elle se penche pour un toilettage final. Elle lèche le manche, de haut en bas, aspire le bout du gland pour récupérer la dernière goutte, bien ça, le sens des choses bien faites, elle a. Elle en finit pas, et que je te suces, que je te gobes, que je te branle, et c’est repartit pour un tour ma parole. La jeunesse, c’est sans mesure…tant pis j’assure, c’est promis. La pression monte, monte, je sens que l’ustensile, gonfle dans cette bouche de rêve, cette langue agile, ces mains expertes, je sens que ça vient, et, nouvelle torsion des couilles, paf, c’est parti …la deuxième giclée est moins somptueuse, mais tout de même honorable.- j’ai oublié de te dire qu’il y a un champignon vénéneux, l’amanite phalloïde. – pourquoi tu dis ça ?- parce que phalloïde, ça vient de phallus. L’un se suce, l’autre te tue ! Gaffe dans la vie, belle blonde !

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Kategoriler:

Genel

Yorum Ekle

E-Mail Adresiniz Yayınlanmayacak. Zorunlu Alanlar *

*