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Amateur

La soumission d’Anne -4-Anne se dirige vers la salle de bain qui, heureusement pour elle, jouxte les toilettes. Des travaux très récents la rendent agréable. Elle est destinée aux invités. A son attention, serviette, gant de toilette et savon sont déjà sortis. Rapidement elle saisi le savon et entre dans la grande cabine de douche vitrée. Le mitigeur actionné, elle attend quelques secondes que la température lui convienne et se glisse sous la pluie tiède et apaisante. Le ruissellement lui fait comme une caresse qu’elle accentue par le mouvement du gant imprégné de savon. Elle frotte tout son corps pour se retrouvée couverte de mousse. Pour plus de confort, elle abandonne le tissus éponge pour se concentrer de ses doigts nus sur son entre jambe. Elle s’applique entre ses lèvres ourlées de ses fins poils puis s’occupe avec délectation entre ses fesses de son anus qu’elle pénètre d’une phalange habile pour en assurer une propreté sans faille. Elle se rinça longtemps, profitant pleinement de cet instant, s’assurant discrètement que je ne la quittais pas du regardDe l’autre côté de la vitre, je l’observe avec plaisir. Sa sensualité n’était pas feinte. Le l’avais bien jugée. Je me trouvais en présence d’une femme d’exception dont je me devais de révéler tout le potentiel érotique. La barre était haute, gâcher un tel bijou serait criminel. J’avais réussi avec Angela, je comptais bien réitérer avec Anne.Pendant qu’elle essuyait consciencieusement chaque centimètre de peau, Angela m’apporta des menottes de cuir, deux pour les poignets, deux pour les chevilles. Sans attendre, je les tendis à Anne.-Attache-les en commençant par tes chevilles.Les pièces de cuir changèrent de mains et elle se pencha avec élégance. Sa pudeur des débuts avait disparue et elle m’offrait sans vergogne la vue de sa fente poilue. Ses jambes ornées des deux larges bracelets de cuir, elle répéta l’opération sur ses poignets. Ceci fait, je m’assurais que tout était bien en place et nous sortîmes de la pièce embuée.-Nous allons maintenant déjeuner mais avant tu vas aller chercher ta valise.-Nue ?-Bien sûr.-Mais elle est dehors…-Tu ne comptais pas entrer avec. Tu vas mettre ces sabots pour ne pas abîmer tes pieds sur le gravier et aller chercher tes affaires. Dépêche toi, on ne va pas y passer la journée.-Bien monsieur.Elle traverse la cour, ouvre le portail et se retrouve devant la ferme, nue comme un ver. La petite route d’accès est peu fréquentée mais en cette fin de printemps les tracteurs en tout genre ne sont pas rare. Elle regarde des deux c^tés, écoute, à l’affût du moindre son de moteur. Par chance personne en vue. Elle sort du coffre une grosse valise à roulette. A croire qu’elle s’installe pour l’été. La valise à du mal à rouler dans le gravier, la forçant à se déhancher sous l’effort, entraînant ses seins dans un mouvement des plus gracieux. Enfin dans la maison, je lui montre sa chambre où, après un ultime mouvement du bassin et hisse la valise sur le lit.-Ouvre la.Le bagage ouvert laisse apparaître sous vêtements, bas, chaussures, vêtements divers, le tout de grande marques.-Je ne savais pas trop quoi prendre…-Tu t’es chargée pour rien. Ici tu n’auras besoin d’aucune chose que tu as eu tant de mal à porter.Elle me regarde sans comprendre.-Tes bracelets et ton collier seront les seules choses que tu canlı bahis porteras tant que tu seras ici.-Si j’ai froid ?Je ne prends pas la peine de répondre.-Allons déjeuner.Pendant le déballage inutile, Angela avait préparé le repas. Plutôt un apéritif dînatoire. Elle était à présent dans un fauteuil, un livre en mains, indifférente à la présence de notre invitée. Je m’assois en face d’elle de l’autre côté de la table, non sans regarder son entre jambe que sa petite robe laisse apercevoir dans l’ombre. Anne attend, nue, ne sachant pas quelle attitude avoir. -Va chercher les plateaux et pose les sur la table.La cuisine ouverte, visible de ma place me permet de suivre ses mouvements. Ses pieds nus ne font aucun bruit, lorsqu’elle revient tenant un premier plateau garni de divers toasts et autres amuse- bouche. Elle se penche pour le déposer sur la table, exposant de nouveau sa croupe et ses seins aux tétons tendus. Ses tétons pointent douloureusement depuis le matin. Le froid relatif, l’excitation, peu importe la raison. Ils sont là, arrogants tendus vers moi comme une offrande. Une deuxième rotation ramène une bouteille de champagne et trois flûtes.-Ouvre la bouteille et sers nous. Ensuite tu viendras à ta place. Ta place, c’est à genoux, les fesses posées sur tes talons et contre ma jambe gauche. Cela vaut pour maintenant et pour toujours. Lorsque je dirais « à ta place » c’est comme ça que tu devras agir. Est-ce clair ?-Oui Monsieur.Elle ouvre la bouteille dans un bruit caractéristique, remplit les verres. Un peu de mousse coule sur le plateau.-Fais attention. Tout ce que tu feras doit être fait à la perfection.-Oui Monsieur, veuillez m’excuser.Elle me tend la flûte au liquide doré, puis à Angela.-Viens à ta place. Tu peux te servir. Tu peux boire et manger en toute quiétude. Nous portons tous les trois le verre à notre bouche pour laisser le liquide pétillant nous rafraîchir. Nous ne trinquons pas. Notre éducation nous a appris que seuls les blaireaux font tinter le cristal, comme si c’était une vulgaire chope dans un pub anglais.Anne grignote peu, posée posée à mes pieds sur le tapis, telle une geisha débarrassée de son kimono. Elle remplit de nouveau nos verres puis reprend sa place.Avec Angela, nous discutons, échangeons quelques phrases de tous les jours, à la fois banales et rassurantes, sur nos chevaux, les derniers films sur Netflix, la maison, le boulot, comme si la situation était naturelle, tandis que je caresse la nuque d’Anne dont la tête est appuyée contre ma cuisse. Le repas se termine dans une ambiance parfaitement détendue.-Débarrasse, et apporte nous le café.Anne se lève, les jambes ankylosées par la position inhabituelle, enlève rapidement les plateaux pour revenir avec nos cafés.-Pendant qu’on boit notre café, tu vas aller te maquiller et te préparer. -Oui monsieur.Se sachant observée, elle quitte le salon pour la salle de bain, d’un démarche qu’elle veut assurée, mais qui trahit cependant son trouble. Pendant le repas elle avait presque oublié sa condition.-Tu en penses quoi ?Angela réfléchit rapidement.-Je pense que tu as fait un bon choix. Elle demande à être travaillée mais je crois qu’elle en a envie. Elle est encore coincée dans son côté petit bourgeois, mais le vernis ne demande qu’a craquer. Tu sais, elle me fais vraiment penser à moi. Tu te souviens bahis siteleri comment j’étais avant que tu t’occupes de moi. Il a fallut le déclic dans cet hôtel d’Orléans, quand tu m’as attaché les mains avec ta cravate. C’était notre première fois. Je ne sais pas comment, mais tu avais ressentis qu’inconsciemment, j’étais prête. On connaît la suite. J’avais du mal à faire une simple pipe et personne n’avait touché mon cul et maintenant…C’est vrai qu’elle était peu portée sur l’exubérance. Mais j’avais des doutes sur sa retenue. Lui attacher les mains avait été une inspiration bienvenue.De son côté, Anne s’appliquait à son maquillage ; Face au miroir, elle finissait de poser un dernier trait de crayon noir sur ses yeux avant d’appliquer son rouge à lèvre avec précision. Une dernière pulvérisation de parfum et elle prit quelques instants pour constater le résultat. Cela lui sembla correct. Elle se mit de profil pour voir sa silhouette au ventre plat et aux seins à la tenue acceptable.A l’entée du salon, elle marqua un temps d’arrêt, comme un acteur qui entre en scène, pour juger de son effet sur le public. C’est vrai que ses efforts étaient payants. Elle était là, nue, avec seulement ses bracelets aux mains et aux chevilles ainsi que son collier au cadenas brillant. Elle avait un peu forcé sur le maquillage mais cela resté très élégant. Je n’aurais de toute façon pas toléré un maquillage de pouffe. La vulgarité n’a pas sa place ici. -C’est bien. Nous allons maintenant monter au grenier.Cette phrase, même si elle ravive un peu son anxiété, elle l’attend depuis son arrivée. Jusqu’à présent, tout avait été plutôt soft, poli, urbain. On passait aux choses sérieuses.Angela ouvrit la montée dans l’escalier, Anne lui emboîta le pas et je fermais la marche de notre petite caravane. Je ne me serais pas privé de la vue de ces deux créatures superbes dont les fesses au niveau de mes yeux étaient simplement une invitation au voyage. Alors qu’elle suit Angela, Anne sent la pression monter à chaque pas jusqu’à l’entrée du grenier.Elle est un peu déçue. Elle avait imaginé un donjon comme dans les films, avec des pierres, une croix, des murs rouges avec une collection d’objets à la fois mystérieux et sans équivoque. Là, rien de tout cela. La pièce est grande, les murs parés de bois, des tapis au sol, un grand tableau contemporain sur le mur du fond, un éclairage doux. Le mobilier aussi lui semble aussi habituel à part une chaise haute à l’assise séparé en deux, avec les reposes pieds. En étant plus attentive, le lit recouvert d’un drap de satin noir a des anneaux aux quatre coins, cette chaise est vraiment spéciale, un banc à l’assise moelleuse recouverte de cuir noir, un palan électrique au plafond et surtout, une grande malle de voyage en bois, qu’elle imaginait avoir trimballé par les porteurs de l’Orient Express. Elle devait renfermer des tas de choses. Comme un enfant essaie de deviner ce qui se cache sous le papier des cadeaux de Noël, son imagination se mit à s’emballer.Je ne lui laisse pas le loisir de continuer ses rêveries.-C’est ici que tout ce passe.La simplicité des lieux l’inquiète. C’est voulu. Il est en effet plus inquiétant de se retrouver avec des inconnus dans une cave où se trouve juste une chaise sous une ampoule crue que dans une suite cinq étoiles d’un palace. bahis şirketleri La rigueur de la pièce est un atout. La soumise ne peut se raccrocher à rien. Son imagination fait le travail. Et c’est le cas-Il est temps que tu reçoive la punition pour tes manquements constatés par Angela.Elle l’avait presque oubliée. Elle avale avec difficulté.En réalité, cette punition était prévue bien avant qu’elle arrive. J’aurais de toute façon trouvé une raison. Cette première épreuve est nécessaire pour juger de son obéissance et de son endurance.Angela a ouvert la malle. Une collection de godes, des cordes, des cravaches et des martinets sont bien rangés. Une laisse, des barres d’écartement sont là, en attente de servir mes envies. Anne regarde ce contenu plein de promesses exquises. Et toujours cette sensation dans son ventre, toujours ses tétons tendus à lui faire mal. Elle sent à peine quand Angela accroche la laisse à son collier et qu’elle me la tend.-Tu es prête ?-Oui monsieur, je suis prête.-Angela…Je n’ai pas besoin d’en dire plus, Angela s’allonge, les fesses au bord du lit, les pieds par terre. Elle écarte les jambes, largement, faisant remonter sa robe et offrant sa toison dorée. Sa respiration a changé. Elle est plus courte. C’est à peine perceptible mais je la connais tellement bien. En prévision de cette situation, je lui ai interdit toute toilette intime depuis deux jours…Je tire doucement sur la laisse pour attirer Anne face à ce sexe ouvert.-A genoux, tu vas la lécher et applique toi.Elle hésite, c’est nouveau pour elle. C’est un peu humiliant et inattendu.Je tire plus fort en appuyant au creux de ses genoux pour qu’elle se retrouve en position entre les jambes d’Angela qui se cambre un peu pour s’ouvrir d’avantage. Je pousse la tête d’Anne jusqu’au contact de la toison. L’odeur est puissante et suave, a****le mais pas désagréable. Comme un parfum musqué et entêtant. J’accentue ma pression, elle a le visage en contact, elle fait mine de résister, mais cela n’est que façade. Elle ouvre sa bouche, sa langue d’abord hésitante, se fraye un chemin vers la fente ouverte. Elle entre dans cette chatte ruisselante et elle se met à laper d’abord lentement puis plus vite le miel qui ruisselle. Elle s’applique sans que j’ai besoin d’intervenir. Lorsqu’elle s’attaque au petit capuchon du clitoris et qu’elle découvre le petit gorgé de désir, Angela se raidit et laisse échapper un soupir d’aise. Anne prend cela pour un encouragement. Elle est surprise du plaisir qu’elle ressent. Je la laisse encore un instant profiter.Mes deux joueuses s’emballent un peu. Je dois reprendre la main avant que la situation ne m’échappe. Je tire sur la laisse et je dégage la tête d’Anne de ce nid humide. Son visage est luisant et humide, son regard trouble. Elle se redresse, j’en profite pour passer mes doigts entre ses fesses pour rejoindre son sexe. Il est trempé. Angela se redresse, en appui sur ses coudes, les yeux voilés à la fois de plaisir et de reproche. Elle aurait aimé que cela dure encore. Je réglerai ça plus tard. Je suis le maître du jeu, pas elle. Sans attendre, j’attire Anne vers la malle où je choisis la cravache destinée aux punitions. Je l’ai fabriquée moi-même, avec du bambou. Elle est sur mesure, à la bonne longueur pour être parfaitement équilibrée. Elle doit être le prolongement de mon bras, je dois pouvoir parfaitement doser la force des coups. Je prends aussi une barre d’écartement que je tends à Angela. Je positionne Anne sous le palan, je fais descendre le câble pour finir par accrocher le mousque

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