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LE CHEPTEL DE MADAME chapitre 11 VincentLE CHEPTEL DE MADAME chapitre 11 VincentC’est un matin ,alors qu’elle avait sorti Enzo pour son premier exercice de la journée que Josyanne remarqua une silhouette qui se faufilait du côté des écuries. Elle cacha Enzo derrière un mur lui recommandant de ne pas se monter ni faire de bruit. Sans se faire voir elle suivit l’intrus qui après avoir ouvert et inspecté les box et la sellerie, se dirigea vers la maison. Il s’apprêtait à tenter d’y pénétrer par une porte de service à l’arrière quand elle lui tomba dessus, au sens propre du terme !Elle était largement assez forte pour maîtriser l’individu qu’elle écrasait sous son poids. Assise sur son dos, elle lui ramena les bras en arrière et les attacha d’une main experte avec une corde qu’elle avait dans sa poche. Elle le fit se relever et le poussant dans le dos, elle l’obligea à avancer vers la maison puis a descendre à la cave où elle le suspendit par les poignets. Elle alla chercher Claire et Marion.Devant les trois femmes campées devant lui, le jeune intrus n’en menait pas large, roulant des yeux épouvantés surtout que chacune s’était munie d’une cravache ! Claire commença à l’interroger « Peux-t-on savoir ce que tu faisais chez moi ? » en faisant claquer sa cravache sur sa jambe.« Le portail était ouvert, je suis entré par curiosité, Madame … » bredouilla l’intrus.« Et c’est aussi par curiosité que tu as visité entièrement l’écurie et que tu t’apprêtais à entrer dans le maison ? » questionna Josyanne.« Mais non, je ne voulais pas … »Un coup de cravache l’arrêta net dans sa réponse « Ne nie pas je t’ai suivi. »« Voleur et menteur avec ça ! » dit Marion accompagnant également sa phrase d’un coup de cravache. « Une bonne correction lui fera du bien, ensuite nous verrons quoi faire de lui » dit Claire.Marion s’avança vers l’intrus épouvanté un couteau à la main. Celui ci croyant sa dernière heure venue tentait d’échapper à ses liens et hurlait « non, non, non ! » « Arrête de remuer comme ça et de hurler » dit Marion « Je ne veux pas de tuer, juste t’enlever tes fringues ! » Accompagnant la parole du geste, elle découpa avec sa lame la chemise le pantalon et le caleçon qui tombèrent au sol. Pétrifié, l’intrus n’osait plus bouger sentant la lame frôler sa chair.Une fois nu, il subit de la part des trois femmes une grêle de coups de cravache. Il hurlait puis progressivement ses cris se transformèrent en sanglots. Sa peau zébrée illegal bahis par les coups très appuyés avait déjà éclaté à plusieurs endroits. Ses couilles et sa bite ne furent pas épargnés non plus le faisant se contorsionner pour échapper aux coups et pousser un hurlement à chaque fois. Au bout de plusieurs dizaines de minutes, l’avalanche de coups s’arrêta. Il était pantelant, tête reposant sur la poitrine, saignant de plusieurs plaies, haletant et gémissant. Les trois femmes contemplaient leur œuvre. Il releva lentement la tête et bredouilla « pitié, pitié, ne ne frappez plus, ne me tuez pas, je ferai tout ce que vous voudrez ! »« Nous allons y réfléchir mais tu ne vas pas t’en tirer comme ça crois-moi ! » dit Claire et les trois femmes sortirent, le laissant pendu gémissant et terrorisé dans le noir.« Vous pensez à la même chose que moi ? » dit Josyanne. « Je propose que nous l’interrogions pour voir qui il est, d’où il vient, si quelqu’un s’inquiéterait de sa disparition etc » dit Marion. «  Oui, mais laissons-le d’abord mariner un peu, on verra ça demain » conclut Claire.Le soir, Marion alla comme d’habitude enchaîner Hubert à la cave après lui avoir fait manger sa pitance habituelle. L’intrus effaré la regardait faire se demandant qui étaient ces furies et où il était tombé. Il osa poser timidement une question « Madame, s’il vous plaît, est-ce que je peux avoir à boire et qu’allez vous faire de moi ? » « A boire, mais certainement » répondit Marion avec un grand sourire et devant ses yeux exorbités, elle urina dans le bol. Elle le détacha de la chaîne, l’obligea à plonger la tête dans le bol,posa sa semelle dessus et dit « bois, régale-toi et surtout n’en laisse pas une goutte » Horrifié à la pensée de ce qu’il allait avaler mais terrorisé à l’idée de ce qu’elle pourrait lui faire, il se força à tout avaler avec des hauts le cœur.Lorsqu’il eut fini le bol, elle le releva, attacha ses poignets à la chaîne d’un palan pendant au plafond et fit s’enrouler la chaîne jusqu’à ce que ses pieds ne touchent presque plus le sol. « Pour ce qui est de la fin de ta demande, tu verras bien demain ce qui se passera … » dit-elle en lui broyant les couilles de sa main gantée ce qui le fit couiner lamentablement et elle sortit le laissant à ses pensées angoissées dans le noir.Revenue au salon, elle raconta la scène à Claire et Josyanne avec force détails et éclats de rire de ces dernières à l’évocation des réactions de illegal bahis siteleri terreur et de dégoût de l’intrus . « Si tout se passe comme prévu, je crois que nous avons un nouvel esclave sous la main et que ton garçon d’écurie est trouvé ! » dit Claire à Josyanne.Le lendemain matin , les trois femmes descendent à la cave. L’intrus, qui sent encore la douleur des coups reçus la veille et qui ne sent plus ses bras, lève la tête et les regarde avec une immense terreur dans les yeux. Les trois jouent un moment à tapoter leur main avec leur cravache en l’observant. Claire prend la parole « Nous avons réfléchi à ton cas et nous avons une proposition à te faire. Mais d’abord parle nous un peu de toi, ton prénom, ton âge, où tu vis, avec qui … Je veux tout savoir de toi ! »L’intrus s’empressa de répondre déballant tout de sa vie : prénommé Vincent, âgé de 22 ans, vivant seul dans un village voisin de petits boulots et de chapardages …Lorsqu’il eut fini, Claire satisfaite de voir que cela cadrait avec leurs souhaits reprit « J’ai deux solution soit je raconte à la police, pour qui tu ne dois pas être un inconnu, que tu t’es introduit ici par effraction et a tenté de me violer ce que mes amies ont empêchés soit tu deviens notre esclave permanent comme celui là… » dit elle en désignant Hubert « On te laisse réfléchir … à tout à l’heure ! » Elles sortirent en emmenant Hubert à 4 pattes.Après l’avoir laissé mariner une partie de la journée, elles revinrent vers Vincent. « Alors tu as réfléchi ? Qu’est-ce que tu décides ? » Vincent s’était dit que prison pour prison autant valait accepter avec une chance éventuelle de s’en sortir. Il accepta donc l’offre. Marion fit jouer le mécanisme du palan, le força à se mettre à genoux devant Claire. « Tu vas signer cette lettre où tu avoues l’effraction et la tentative de viol et que je garderai en garantie ensuite on t’expliquera ce qu’on attend de toi. » Vincent signa complètement abattu. Marion lui mit un anneau muni de pointes qu’elle serra au maximum à la base des couilles et de la bite, accrocha une laisse à l’anneau et libéra ses mains. On le fit remonter à 4 pattes au rez de chaussée, Marion tirant très fort la laisse vers le haut l’obligeant à lever le cul le plus haut possible, Claire et Josyanne lui administrant des coups de cravache sur le cul et les couilles.Arrivés au salon, Marion le fit se placer au milieu le cul levé le plus haut possible et les bras canlı bahis siteleri étendus devant lui avec interdiction absolue de bouger.Claire commença à piétiner ses mains tout en lui expliquant ce qui l’attendait. Il serait nu en permanence avec un collier d’esclave au cou. Il devrait une obéissance absolue à toutes les Maîtresses présentes dans le domaine sous peine de sévères punitions dont il avait eu un avant goût la veille. Dans la journée, il serait à la disposition entière de Josyanne. Il passerait ses nuits enchaîné dans la sellerie ou à la cave, il serait nourri comme Hubert. Elle le prévint que toute tentative pour s’échapper pendant la journée serait sanctionnée avec une extrême sévérité. Marion ponctuait chaque phrase en tirant sur la laisse et Josyanne par un coup de cravache.Josyanne prit le relais écrasant à son tour les doigts déjà bien meurtris en expliquant par le menu tout ce qu’il devrait faire aux écuries. Elle lui précisa que les écuries seraient remplies de pony-boys dont il aurait à s’occuper aussi et ce que c’était qu’un pony-boy. Toute négligence ou travail mal fait lui valant une punition sévère au fouet ou à la cravache.C’est Claire qui ponctuait à son tour le discours de sa cravache sur les couilles de Vincent.Pour finir, Marion fixa la laisse à un crochet haut sur le mur et il dût répéter un serment d’allégeance successivement aux trois Maîtresses en léchant leurs chaussures. Puis Marion le reconduisit à la cave où elle l’accrocha par l’anneau des couilles au palan. Le soir, il eut droit de partager le repas qu’Hubert avait récolté dans la journée complété par de la nourriture pour chien puisqu’ils étaient deux à se partager la gamelle et abondamment arrosé par les Maîtresses devant lui. Il passa la nuit suspendu par les couilles au palan, une barre d’écartement aux mains et aux pieds.Les jours suivants n’ayant pas encore de travail aux écuries il resta enchaîné à la cave. Il apprit par cœur les ‘devoirs de l’esclave’, interrogé deux fois par jour et sévèrement fouetté sur les couilles et la bite pour chaque erreur.Margot ayant appris sa présence vint le voir plusieurs fois et se fit un plaisir de lui administrer les supplices dont elle avait le secret le laissant à chaque fois en larmes et pantelant. Il apprit à la craindre autant qu’Hubert qui au passage bénéficia des mêmes traitements Le spectacle des deux esclaves tremblants de peur à son arrivée et anéantis à ses pieds ensuite ne manquait pas de réjouir la sadique dominatrice qui révéla à ses trois amies tester sur eux quelques tourments qu’elle appliquerait ensuite dans son donjon sur ses clients les plus masos et endurants.A suivre … Le cheptel chapitre 12 concours de Miss

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