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Le Séminaire – Chapitre n°66h45 : le réveil sonne …Je me retourne dans le lit et regarde l’état de désordre de la chambre…Sarah n’est pas là, et je suspecte qu’elle ait fini la soirée avec Cédric…Quelques parts, cela me soulage, car je vais pouvoir effacer toutes les traces de cette nuit de folie.Rapidement j’enfile un peignoir et commence à ramasser mon linge éparpillé. Remettant mes affaires dans ma valise et jetant les lambeaux de tissus ainsi que la bouteille vide dans une poubelle.Derrière moi, la baie vitrée porte encore la trace et l’image de ma silhouette…la sueur ayant dessinée le contour de mes formes lorsque l’inconnu me plaquait avec force contre la vitre en me pénétrant. L’image mentale me fait sourire et pourtant je n’en suis pas fière.La baie vitrée essuyée, la chambre rangée, je me dépêche de prendre une nouvelle douche pour me préparer et commencer la journée comme si de rien n’était. Sur le buffet je réuni les photographies, lettres et négatifs de mon maitre chanteur et les cache dans la doublure de mon sac à main.7h20 : Alors que je finie de m’habiller, Sarah entre dans la chambre. Elle semble fatiguée et commence à me raconter sa soirée avec le concert… Rapidement elle me fait regretter de ne pas l’avoir accompagné mais ne s’étend pas plus longuement sur la nuit qu’elle a passé avec Cédric…De mon côté jouant la curiosité, je lui demande si Philippe était aussi présent et s’il est resté dans la chambre avec eux…Sa réponse étant positive, je suis presque déçue de devoir l’éliminer de ma liste des suspects pour mon maitre chanteur. Qui est ce.. ?Dans la salle de bain, Sarah se fait une rapide toilette et un brin de maquillage pour masquer ces cernes…moi dans la chambre, j’attache mes chaussures à talons et l’attends patiemment.Sarah « :(sortant avec la bouteille vide a la main) Dis donc petite coquine…. Tu as fait quoi hier soir ???Moi : (baissant les yeux) heu. Rien…ce n’est pas ce que tu crois…Sarah : (plaisantant) . Mais je ne crois rien. Je constate que tu as pris du bon temps… c’est tout… !!!Moi : Non, je t’assure, c’est pas du tout ce que tu crois…Sarah : (taquine) Ce n’est pas à moi que tu feras croire cela ma chère…Moi : (m’énervant) Tu as tord…c’est juste que…j’étais seule et j’ai picolé. Voilà…Sarah : OK . ok te fâche pas…je plaisante… Moi : C’est bon …excuse-moi… je suis fatiguée aussi … excuse-moi…»8h10: Nous descendons pour le petit déjeuner, et dans le couloir, nous croisons le regard de quelques clients de l’hôtel… j’ai l’impression que certains me dévisagent, où devinent mes actes de la nuit passée. Machinalement, je baisse les yeux et avances sans me faire remarquer…Au petit déjeuner, l’ambiance est conviviale… Cédric et Sarah sont proche mais n’affichent pas leur liaison naissante…Philippe lui de son coté, potasse déjà son discours et rumine tout en buvant son 3ème café.Prétextant devoir aller aux toilettes, je quitte plus tôt la table… et me dirige vers l’accueil de l’hôtel pour chercher l’enveloppe de mon tortionnaire avec ses nouvelles exigences…La peur au ventre…je m’avance et découvre qu’en ce jeudi matin, malheureusement, c’est le petit gros vicelard qui est présent…Moi : « bonjour, monsieur….Petit gros : (souriant et l’œil vicieux) Bonjour madame…bien dormi ???Moi : (honteuse) heu… oui merci…mais… heu… (cherchant mes mots) Auriez-vous un courrier à mon nom, s’il vous plait, je suis madame Schmitt de la chambre 244…Petit gros : Oui, je sais qui tu es ma belle…je regarde ça. Un instant… »Le pervers s’éloigne 1 minute et disparait dans la salle de garde derrière l’accueil. Cette minute semble longue, très longue…et je m’attends au pire pour son retour.Par chance d’autres clients arrivent et patientent à mes côtés, et j’espère que leur présence calmera toute éventuelle remarque de ce sal type.Revenant enfin, un courrier à la main, il marque un temps d’arrêt voyant que je ne suis plus seule…Petit gros : « Voici madame…votre courrier. Mais il me faut votre signature pour le bordereau…Moi (saisissant la lettre) : très bien… ou dois-je signer… ? »Derrière le comptoir, il me présente une feuille tirée d’un carnet ou figure les entrées et sorties du courrier… rapidement je cherche ma ligne et cherche à savoir quand et par qui ce courrier a été remis au comptoir…Malheureusement ou évidement aucune indication ne figurent sur le papier et je signe l’acte de réception avec désespoir.Petit gros : « (faussement aimable) Merci madame, passé une bonne journée..Moi : heu…oui… merci. ».M’éloignant, la lettre à la main, j’avance d’un pas rapide vers les toilettes du restaurant afin de m’isoler et lire ce que mon bourreau attend de moi aujourd’hui.Ouvrant la première cabine disponible, je ferme rapidement le verrou et m’assois sur la cuvette afin de reprendre mon souffle….les yeux sur l’enveloppe, seul le numéro de ma chambre y figure…Mes mains tremblent, je respire profondément et je déchire l’enveloppe d’un coup sec afin de ne pas perdre de temps…L’enveloppe contient une lettre et encore 2 photos de moi prises depuis l’extérieur du bâtiment… la honte et la chaleur me monte aux joues… Sur la première photo, l’image me montre les bras attachés et écartelés à la fenêtre de la chambre, seins et sexe nus, jambes serrées avec un homme me tenant par les hanches et me baisant contre la vitre…… La seconde photo est encore plus crue et humiliante et mes larmes me montent aux yeux…. Cette fois ci, l’homme qui se cache derrière moi m’expose avec les jambes et le sexe grand ouvert présentant son pieu planté profondément dans mon anus… La vision de mon corps ainsi offert et transpercé est surréaliste… et digne d’un mauvais porno.Tentant de me ressaisir, j’essuie mes larmes et me concentre afin de lire le courrier qui accompagne ses images d’horreur de ma nuit.« FELICITATION !!!Je pense que ton mari et ton patron seront très heureux de te voir ainsi exposée !…Mais si tu ne le souhaites pas, tu sais ce que tu dois faire …Voici mes instructions si tu veux récupérer ces clichés et leurs originaux.•Durant la journée : Ton Dress-code sera de n’avoir AUCUN sous vêtement sous ta jupe et ton chemisier et 3 boutons de celui-ci devront rester ouverts en permanence. Pour validation de mes demandes tu devras remettre ta culotte et ton soutien-gorge à la personne de l’accueil de l’hôtel avant ton départ pour le colloque. Seuls tes bas seront tolérés.•Durant la soirée de gala : idem que durant la journée…juste tes bas sous la robe de soirée. Et obligation d’être présente et active sur la piste de danse.•Enfin, afin de pimenter ta journée, tu devras te soumettre à toutes les personnes qui découvriront ta nudité et qui souhaiteront en profiter mais également à toutes celles qui te donneront le mot code : « FANTASME » et dont tu devras répondre par le mot « SERVICE » avant de les suivre et leurs obéir.A la fin de la journée, ta récompense (ou pas) t’attendra dans ta chambre d’hôtel…»Que la journée risque d’être longue…me dis-je en moi-même…Encore une fois, je dois prendre des risques et certainement m’humilier face à des inconnus. Seul avantage aujourd’hui, c’est que je verrai le visage de ceux qui compose se complot et qui profiteront de moi.Résignée, je me prépare et commence à me déshabiller dans l’étroite cabine… retirant tour à tour mon chemisier puis mon soutien-gorge, la sensation en est presque agréable, malheureusement le froid du local me saisit rapidement et me rappelle ma réalité…Me rhabillant, la caresse du tissus sur ma poitrine est douce mais la liberté de mes seins est une contrainte.. Le frottement m’électrise les mamelons qui durcissent et pointent rapidement sous la fin tissue. Apres avoir replacer mon chemisier dans ma jupe de tailleur, j’ouvre les boutons… un , deux … puis trois…mon décolleté est fait, le troisième bouton arrivant pratiquement à l’entre sein…Je sais qu’ainsi ouverte, ma chemise laissera apparaitre mes globes ronds à la vue de ce qui passerons assez près de moi. A moi maintenant d’éviter de trop me baisser pour ne pas ouvrir d’avantage l’échancrure et éviter de m’afficher si impudiquement…Je soupir, il me reste un détail et non sans importance… retirer ma culotte…Honteusement, je relève ma jupe…glisse mes mains et saisi les élastiques de mon tanga afin de le descendre sur mes chevilles….Drôle de sensation…l’air frais passant entre mes cuisses me saisit et un frisson parcours mes reins….. Cela me rappelle les jeux de jeunesse et les défis que je partageais avec Sam à nos débuts…mais cette fois ci en bien moins excitant.Sam !!! Il faut que je l’appelle… son retour est aujourd’hui, je dois lui dire. Je dois lui parler… Même s’il est dans l’euphorie de son nouveau contrat, je me dois de lui dire mes mésaventures, ma honte et à quel point j’ai besoin de lui…Prenant mon portable, je compose le numéro et attends….. Malheureusement je n’ai que le répondeur, et je ressens la peur monter en moi…Par défaut je laisse un message, en espérant pouvoir avoir un retour au plus vite.« Sam, mon amour, j’ai besoin de toi et de te parler, c’est très urgent, j’ai fait des bêtises … pardonne moi, je t’aime… rappelle moi… ».Afin de balıkesir escort rendre mon message moins alarmiste, et pour ne pas trop l’inquiéter, je lui laisse aussi un SMS, lui expliquant que son soutien m’est indispensable.et que j’ai honte de mes actions… afin de lui donner le sujet sans entrer dans les détails, je lui dis simplement que certains de nos fantasmes communs se sont réalisés durant le séminaire et j’espère qu’il comprendra mes mots entre les lignes.Etant toujours ouverte d’esprit et libre sexuellement, je ne crains pas particulièrement sa réaction ou sa surprise, car depuis de nombreuses années nous partageons avec Sam nos désirs et nos fantasmes les plus intimes. Parfois même, nous osons et vivons quelques expériences et jeux coquins en commun du style Sauna mixte ou clubs libertins soft….bref nous nous assumons sans complexes tout en restant très sage et discret en dehors de ces quelques moments.Cependant, aujourd’hui, le fait de vivre cela sans lui, me gêne et je crains de le blesser autant que de perdre sa confiance si je lui avoue avoir céder a des désirs sans son accords.Bref, je reste fébrile et j’attends son message avec angoisse toute la journée…Voilà c’est fait…Sam est prévenue, je sais que j’ai fautée et que je risque beaucoup et pourtant que faire… je ne tiens pas non plus à perdre mon emploi ou être publiquement humilié…comment me sortir de ce guet-apens…Je reste debout dans ma cabine de toilette, ma culotte à la main, mon soutien-gorge dans mon sac… je me réajuste, essayant de caché mes seins dans mon chemisier a demi ouvert…l’air est frais et mon corps frissonne… a moins que ce ne soit la peur.Je dois y aller, la journée commence….Je dois donner mes sous-vêtements a l’accueil…il est presque l’heure d’aller au colloque. Je repense au petit gros… l’enfer s’acharne sur moi. Pourvu qu’il ait été remplacé depuis toute à l’heure…Me dirigeant dans le hall, la main serré sur mes vêtements enfoncés dans mon sac, je m’avance. Mes talons résonnent sur le sol. Le feu aux joues, et les yeux baissés, j’avance vers le comptoir…le petit gros est là, souriant…il sert d’autres clients et mon angoisse monte à chaque minute de patience qui passe attendant derrière eux.Pourvu qu’un autre standardiste apparaisse….et m’épargne ce pervers.Le couple devant moi en termine, et me voici à présent face au feu…Essayant de ne pas m’évanouir, et de lui tenir tête, je fais de mon mieux pour paraitre naturelle et sereine, alors que tout est l’inverse en moi…Le petit gros : « Que puis-je pour vous, jolie madame ????Moi : Heu… j’ai… Enfin…heu… Auriez-vous un sac plastique s’il vous plait ?Le petit gros : (étonné) : Heu oui un instant je regarde cela…. »Ouff… une idée de dernière seconde, une idée qui je l’espère évitera qu’il ne voit mes affaires, ou qu’il ne tente quelque chose…Le petit gros : « (me tendant un sachet) : Voici, est-il assez grand… ?Moi : oui.. oui parfait…Le petit gros :(regardant mon décolleté) je vois que vous, vous êtes mise à l’aise par cette journée de chaleur…c’est bien jolie tout ça…Moi : (enfournant rapidement mes affaires dans le sac derrière le comptoir) Comment ??? De quoi parlez-vous… ??Le petit gros :(se penchant un peu)…. Heu rien du tout, je disais seulement que votre chemisier vous allait à ravir…et que vous avez de bien jolis seins… »Humiliée, je n’ose répondre et baisse les yeux… lui laissant le temps d’admirer ma peau blanche et mon corps si fragile.Le petit gros : « Et donc. ce sac. ??Moi :(timidement) : Oui… pardon…Je vous le confie, je le reprendrais ce soir…je vous prie d’être discret et ne pas y toucher…Le petit gros : C’est un cadeau pour moi ??? Voyons voir cela… (et l’ouvrant en grand s’exclame) Ah en effet, c’est très joli…j’en prendrais bien soin. Merci ma jolie madame… »Morte de honte, je m’enfuis avant qu’il ne prononce encore l’une de ses remarques… abandonnant mes vêtements et ma dignité sur le bord du comptoir.D’un pas vif, je file vers la sortie, et serre les dents afin de retenir mes larmes de honte…Sur le parvis de l’hôtel, le vent glisse sur ma peau et mes seins réagissent immédiatement sous mon chemisier et mon tailleur, mes jambes à peine gainées de mes bas tremblent de la sensation de fraicheur du matin qui caresse ma peau. L’air est frais et le calme revient progressivement en moi…Sarah, m’apercevant en train d’attendre au dehors me rejoint et nous partons ensemble pour la journée et les activités du séminaire. Arrivée à l’immeuble, le portique de sécurité me fait déjà trembler…Les 2 colosses sont là et inspectent méticuleusement chaque participants…« Pourvu que rien de sonne à mon passage » me dis-je angoissée…J’avance dans la file d’attente….. encore un pas… puis viens mon tour…Le colosse me reconnaissant affiche déjà un sourire pervers non dissimulé. Je pose mon sac sur le tapis roulant et me présente dans le portique…Bras tendus et jambes écartés, il passe son scanner autour et devant moi, s’amusant à frôler chacune de mes courbes puis passe sur l’arrière mais ne détecte rien… Ensuite, pervers comme je l’imagine, il insiste pour que j’ouvre et retire ma veste de tailleur et recommence sa détection malsaine. Exposée, mes seins en poire se dessinent parfaitement sous mon chemisier et il devine sans peine que je ne porte rien au-dessous… cela le fait sourire avant d’en finir et passer à Sarah derrière moi.Je m’avance, presque soulagée pour reprendre mon sac de l’autre côté du portique et son collègue tout aussi malicieux me félicite à voix basse pour ma jolie tenue et les jolies vues… Par honte ou défi, je ne lui réponds pas et reprend mon sac avant de tourner les talons, mais celui-ci m’interpelle et me stoppe encore une fois…Vigile : « Madame… attendez, vous oubliez quelque chose..Moi :(me retournant surprise) Comment cela ???Vigile : (sourire aux lèvres et un papier à la main) N’oubliez pas ceci…. »Saisissant le dit papier, je m’aperçois, qu’il a fouillé mon sac jusque dans les moindres doublures et ressorti les photographies pornographiques et honteuses de mes précédente nuits…Mortifier, je m’éloigne anéantie par cette nouvelle humiliation.Penaude et perdue (dans ma tête) je poursuis mon chemin et attend Sarah qui malheureusement pour elle porte des objets métalliques et doit totalement vider son sac…avant de se soumettre elle aussi à leur jeu pervers. Par chance, ne trouvant rien, elle est libérée au bout de 5 minutes et nous reprenons note chemin vers les amphithéâtres, toute les deux perdues dans nos pensées et par ce dégradant moment.9h -10h…la matinée est ennuyeuse…et les discours de la direction principale ne sont guère motivants, budgets déficitaires et peu d’amélioration sur le groupe durant l’année… bref à croire que toute les agences travaillent mais ne progressent pas.10h15 : La pause cigarette et café…je sors rapidement et m’éloigne du groupe, portable à la main pour essayer de joindre Sam… malheureusement sans succès.Adossée à un pilier du bâtiment, j’observe les participants, ça discute et rigole, certains me dévisagent se rappelant sans doute mes déboires du début de semaine… à moins que ce soit la peau blanche apparaissant de mon décolleté qui les intrigue sans oser m’approcher…10h40 : Reprise des exposés…sur ma chaise je croise mes jambes afin de ne pas soulever le moindre soupçon… Cédric à mes côtés me regarde, et me sent en stress…très vite, il découvre la pointe de mes seins à travers mon chemisier et très discrètement se penche vers moi.Cédric : « Tu as un sacré décolleté aujourd’hui, c‘est joli… tu as oublié ton soutif ce matin ???Moi (gênée) : Arrêtes tes conneries. Fiche moi la paix…Cédric : (riant) Non. Non, en plus tu pointes…c’est fait exprès je suis sûr..Moi :…. Chut…écoute le discours et fiche moi la paix.Cédric :(entreprenant) montre voir un peu… Moi : Ca suffit… arrêtes !! Cédric : j’arrête si tu me montre…. »Prise au piège… je me penche légèrement en avant afin et tire discrètement sur un bord de mon chemisier pour lui laisser voir le bord blanc de mon sein nue…Moi : « Ça te va ?.. Content ?Cédric : Mieux que ca….Moi : Non, tu es fou, je ne peux pas…pas ici»Sans gêne il se tourne vers moi, pose sa main sur ma jambe et me lance un regard plus qu’insistant.Cédric :(murmurant) « Fais pas ta timide, penche toi en avant et fais semblant de chercher un truc dans ton sac… sinon je parle plus fort encore…»Dans ses yeux, je lis sa détermination…il me possède et je n’ai pas le choix… il le sait… Doucement je me penche en avant, et lui en profites pour faire entrer sa main dans mon chemisier et me saisir un sein dans sa paume…Il me tient fermement, me pelote et malaxe… du bout des doigts il pince mon téton et le fait rouler… je n’ose plus bouger durant quelques secondes…fermant les yeux pour supporter la douleur qui me pince.Moi : « Ca suffit, lâche moi… !Cédric : Mmmm C’est doux… j’adore… »Cédric s’exécute…et me remercie pour mon petit cadeau…Sur ma chaise je suis troublée et mortifiée .Espérant que personne n’ait rien vu de notre petit manège… Rapidement je referme ma veste et efface toute vue de l’acte humiliant qui vient de se produire…Cédric serait-il escort balıkesir mon tortionnaire ??? Ou juste un exécutant ??? Une chose est sûre, il sait que je suis en position de faiblesse aujourd’hui et il ne se gênera pas pour jouer avec moi…sauf … sauf si je prends les devant …Moi : « (me glissant vers lui) : Alors tu as bien profité. Cédric : (étonné) heu.. Oui bien sûr…Moi : C’est bien !. Profites en car ça sera la seule fois…Cédric : Comment cela ???Moi : Rien, disons juste que je viens de te piéger et que maintenant j’ai une preuve en image de tes agissements…. donc un conseil pour toi mon cher … n’oublies pas nos accords si tu ne veux pas que je me serve de cela contre toi ou ton père.Cédric :(penaud).. ok ok .. Désolé, mais bon tu te ballade comme ça. Ça donne envie.Moi : Justement. A toi de te contrôler. Et puis je doute que Sarah apprécie déjà tes écarts…»La discussion se termine et grâce encore à mon coup de bluff je reprends l’avantage sur ce gamin pervers et idiot. Mais aussi évitant sans doute son harcèlement et des déboires durant la journée de sa part.11h45 : La pause du déjeuner… le réfectoire est déjà plein et afin de ne pas m’exposer, je prétends ne pas avoir faim et vouloir prendre qu’un sandwich pour profiter du soleil sur la terrasse. Sarah me voyant préoccupée et ne voulant pas restée seule parmi le groupe me rejoint et nous déjeunons ensemble sur un banc dans le parc…L’air et la température de ce début d’été est doux…le soleil tendre nous réchauffe de ses rayons et on se laisse aller à profiter de l’instant… Puis mon portable sonne, me faisant sursauter…« NUMERO MASQUE » Je décroche et prend immédiatement la parole.Moi : « Allo, qui est ce ??? Allo…Appel X : Calme-toi Estelle…Moi : (oubliant Sarah a côté de moi) Qui êtes Vous ?? Que me voulez-vous ???Appel X : Je voulais juste de te remercier pour ton cadeau de dentelles ce matin à l’hôtel… je vois que tu respectes nos arrangements…Moi (énervée) Qui êtes-vous ??? Répondez…Appel X : Je ne suis personne… juste l’outil de tes FANTASMES…Moi : (silence)…..Appel X : Estelle… tu n’as rien à répondre. ?Moi : Heu…. Je … si …. Il va de soi que je suis à votre SERVICE.Appel X : Je préfère cela…Moi (anéantie).. .et … que dois-je faire…. ???Appel X : (riant)….. Ecartes tes jambes, interdiction de les croiser pour la journée…, ça sera tout… bonne journée… »Puis l’inconnu raccroche.Je reste un instant immobile, téléphone à l’oreille, sans comprendre ce qu’il m’arrive.Sarah en face de moi ne comprend pas … et me regarde avec ses grands yeux.Sarah : « Estelle ?? Ça va ???Moi : Heu quoi…Sarah : Tu es toute pale… tu te sens bien.. Moi : heu oui …oui… c’est.. (Inventant vite une histoire) c’est l’appel masqué, en fait c’est ma banque …il m’annonce qu’on a un gros découvert et qu’il faut régler cela au plus vite….Sarah : Ahh mince…j’espère que ça va aller…Moi (reprenant mes esprits et mon mensonge)… oui.. ça arrive parfois quand Sam fait des achats à l’étranger. Il doit avancer souvent de l’argent et donc ça nous mets dans le rouge… c’est sans doute cela que la banques m’appelle …Sarah : OK…tu es sûre… car tu n’as pas l’air bien. Moi : Oui, oui, ne t’en fait pas… je vais lui tirer les oreilles en rentrant mais ça va aller… »Reprenant mon souffle, et essayant de ne pas montrer mes angoisses, j’ouvre mes jambes laissant l’air venir caresser l’intérieure de mes cuisses et ma fente nue sous ma jupe…les ordres sont simple, mais l’impact sur mon esprit et mon corps est violent… 13h17 : Rêvassant, encore assise, sur le banc avec Sarah, j’essaie de me changer les idées et de ne pas trop penser à mes sensations qui glissent vers mon entre-jambe et qui doucement émoustille mon bas ventre. J’essaie de me convaincre que la journée se passera sans trop de problème…et que malgré l’incident avec Cédric ce matin, je ne risque plus trop d’être importunée si je reste discrète.13h20 : le téléphone Sonne et m’effraie à nouveau…Sarah : « He ben dis donc. Tu as du succès…Moi : Chut. C’est Sam !!! Excuse-moi… je reviens…»Puis m’éloignant du banc je prends l’appel et m’isole rapidement dans le parc afin de ne pas être entendu d’un éventuel curieux.Moi : Allo Sam??? Comment Vas-tu ???Sam : Bien et toi ?? On a signé le contrat avec le Russe, et là je rentre chez nous…mais dis-moi, c’est quoi ton histoire, je suis inquiet…. Ça va ?Moi : Sam… j’ai… (Les larmes me montent aux yeux)…Sam : Tu as quoi… un accident, tu es malade ???Moi : non…laisse-moi parler s’il te plait… j’ai …Sam : ok … dis-moi…Moi : Sam , tu dois savoir que . (…) J’ai couché avec des hommes ici. Dont Philippe et Cédric… je t’ai trompé !!! Voilà…Sam : (silence)……Moi : Sam ??? Sam !!! Réponds moi… je t’en prie… aide moi. Sam. !!!Sam : Que veux-tu que je te dise. Tu es libre et puis cela nous est déjà arrivé par le passé d’avoir des petits écarts…Moi : Pardonnes moi Sam… je m’en veux…je ne voulais pas comme ça…Sam : Ne t’en fais pas, je t’en veux pas…je suis juste surpris…Moi : Sam, je t’aime … je te demande pardon.Sam : Ne stress pas. Ce n’est pas grave. Tu as le droit de prendre du plaisir aussi si tu en en ressens l’envie. Nous avons toujours été honnête l’un avec l’autre. Donc ne t’en fais pas… c’est juste surprenant par rapport à ton travail …Moi : Oui je sais. Mais il y a pas que ça… on me force à faire des choses… Sam : Explique-moi…Moi :(paniquée) Comment te dire…Il y a un type qui m’a vu, un soir, faire…Et depuis il me manipule et exige des choses de moi. Il me fait chanter pour que j’en fasse plus sinon il menace de tout dévoiler et briser notre vie et le boulot…et tout ça.Sam : OK, ok calme toi…Je change mes plans et je te rejoins à Paris et on va le démasquer ensemble … calme toi… ça va aller. Crois-moi.Moi : Comment cela tu me rejoins ??? Tu n’auras pas le temps. Et je dois …Sam : Je suis à 160 km … je prends un taxi et je viens ! Ne t’occupes pas de moi et ne t’en fais pas, en attendant, tu joues le jeu et tu obéis à ses ordres…Moi : Mais Sam… je ne peux pas… si jamais il me force à des actes…Sam :(m’interrompant) Joue le jeu, et ne dis à personne que je viens, je vais te sortir de là. Fais-moi confiance…Moi : Sam j’ai peur… il m’oblige déjà à ne plus porter de sous-vêtements… il va sans doute vouloir beaucoup plus…Sam : Ne t’en fais pas, on va l’avoir… fais-moi confiance.Moi : je t’aime Sam, je ferai tout pour toi…mais….Sam : Moi aussi je t’aime …je dois te laisser… tiens le coup….et demain on se revoit quoiqu’il arrive…Moi : Je t’aime Sam, pardonne moi… je t’aime tant ! »La communication se coupe, et l’ascenseur émotionnel en moi s’active… des larmes au sourire et inversement, je réalise que même en position de faiblesse, Sam veille sur moi et qu’il ne me laissera pas dans cette situation.Jouer le jeu… je dois tenir… au moins encore aujourd’hui…le temps que Sam arrive et qu’il trouve qui ose m’utiliser.L’échange de ces quelques mots me rassurent et me consolent malgré la gravité de mes fautes.Je retourne vers le banc, vers Sarah, qui patiente et me vois revenir avec les yeux rougis.Sarah : Ca va ??? Vous vous êtes disputé ???Moi : Non, non Ca va… c’était tendu… simplement.Sarah : Tu es sure ??? ca va aller…Moi : Oui… »Un SMS retenti… c’est SAM.« Merci de ton honnêteté, on en reparlera …tu sais ce que j’attends de toi, à demain »Sarah : (étonnée) Que peut-il dire par honnêteté ??? Et ce qu’il attends de toi ??? il est dur…Moi : je lui ai tout dis… pour la soirée…et Philippe et Cédric.Sarah : Quoi ??? A mince…. Et il est fâché ?Moi : (faignant la tristesse) Je ne sais pas…mais le connaissant, ça ne passera pas facilement… Sarah : Hooo ma pauvre, j’espère que vous ne vous séparerez pas…Moi : on verra… j’assumerai mes bêtises… »Sarah, triste pour moi, me sert dans ses bras et me cajole comme si déjà je venais de perdre mon mari pour la passade vécue…De mon côté, les larmes aux yeux, je l’enlace faisant mine d’être affecté par ce sujet plutôt que mes obligations.Cependant je sais aussi à travers de ses mots que Sam (et son coté coquin pervers) profitera de mon écart pour prendre plus de pouvoir sur moi…14h05 : il est temps de revenir à la réalité et au programme de l’après-midi…remontant l’allée du parc avec Sarah, j’essuies mes larmes et marche lentement afin de profiter un peu de l’air frais et des rayons du soleil avant de nous retrouver à nouveau enfermé dans l’amphithéâtre…14h30 / 15h00 /15h30… enfin passe le temps des présentations finales ou chaque équipe doit monter sur scène et saluer les autres collaborateurs…A la file indienne, nous allons vers l’estrade, et en moi monte une angoisse imperceptible….Marchant en dernière dans notre rang, je sens dans mon dos et sur mes reins les regards se poser à chacun de mes pas… savent-ils que je ne porte rien sous ma jupe???Alignés devant l’écran blanc, le projecteur nous cible devant le public des participants. Je sais ou plutôt je sens que beaucoup de regards me fixent et en particulier ceux des premiers rangs. Mais par chance mes vêtements ne laissent pas transparaitre ma nudité imposé au-dessous.Ma veste de tailleur couvrant la lisère mon chemisier et mes seins, balıkesir escort bayan je me sens protégé par ce faible rideau face au canon de lumière qui me mitraille.Le directeur national remercie Philippe notre gérant et l’équipe pour notre contribution et nous invite à saluer individuellement la foule …Lorsque viens mon tour, je m’avance d’un pas fébrile et m’incline…priant pour que rien en dépasse ou ne s’ouvre…Puis reprend ma place en rougissant…sous les applaudissements de la majorité des hommes et des participants…Il est 16h20 quand le tour d’honneur se termine, le président annonce la fin du colloque et nous donne rendez-vous pour 19h00 précise dans la grande salle de l’auditorium pour la soirée dinatoire et festive de clôture…Avant de retourner à l’hôtel pour nous changer, Sarah et moi nous dirigeons vers les toilettes, mais nous sommes interrompus par Philippe qui souhaite nous présenter au PDG de la société. Un grand homme assez âgé déjà (environ 65/70 ans) dans un costume hors de prix et qui par son ventre rond laisse deviner qu’il doit déjeuner chaque jours au restaurant.Directeur : « Eh bien, mon cher Philippe, je vois que vous avez une bien jolie équipe… je vous envie…Philippe : (gêné) heu, oui, j’ai de la chance d’avoir de très bons éléments…Directeur : C’est parfait, mais je me demande toujours comment vous faites pour avoir tant de succès et de si jolies femmes.Philippe (gêné) : He bien j’ai juste de la chance qu’elles soient compétentes et belles à la fois. L’important étant le résultat et la satisfaction client.Directeur : (me tenant par le bras) La satisfaction client !!! J’imagine très bien avec vous » ! (dit-il en posant son regard sur ma poitrine a demi nue et proche)La situation dé**** et mes regards entre ces hommes ne laissent pas de doute à mon trouble. Philippe voyant l’insistance du PDG avec ses allusions et distinguant clairement ma poitrine tendue sous mon chemisier, tente de reprendre le contrôle … mais reste troublé par la vision sous ses yeux d’un de mes globes blancs sortant du décolleté plus ouvert. Philippe : « Heu… Monsieur HENRI, Estelle est une personne intègre et une très bonne commerciale, elle n’a pas besoin d’artifice pour vendre…je m’en porte moi-même garant et dans notre agence a de belle perspective d’avenir au-delà de ce que vous pensez.Moi : (troublée) Je vous remercie Philippe…Directeur :(me relâchant)…Oui je n’en doute pas, il est vrai que des collaboratrices efficaces sont des denrées rares de nos jours.Philippe : Oui, il est vrai… »Puis simulant un rire de complaisance, notre petit groupe se sépare et j’entends en voix de fond que le directeur et Philippe argumentent sur mes formes et celles de Sarah…ou sur la vision que j’ai offerte à mon insu au PDG…Arrivées aux toilettes, je relâche la pression et Sarah à mes côtés reste encore sans voie suite à cette scène.Moi : « Non mais quel pervers celui la… !!Sarah : Oui j’ai vu… comme il t’a regardé, j’ai cru qu’il allait te déshabiller sur place. Et te tripoter devant nous.Moi : J’y ai cru aussi… il en bavait d’envie ce vieux cochon.Sarah : Heureusement que Philippe est intervenu…Moi : oui, heureusement…. »Sur ce dernier mot, Philippe entre dans les toilettes des dames et fonce vers nous…comme furieux.Philippe : « Bon sang Estelle, que faites-tu !!! Hurle-t-il…Moi : Mais, quoi???… moi ?. J’ai rien fait. ?Sarah : (tentant de s’interposer) Héééé vous n’avez rien à faire là…Philippe (furieux) : Toi ferme là !!! Je ne te parles … et toi Estelle c’est quoi cette tenue a moitié a poil devant le directeur.Moi : … mais. Non…Philippe : Tu me cherche c’est ça. Tu veux me faire virer et qu’on ferme la boite ?Moi : Quoi ??? Mais non ??? »Philippe : Ecoutes moi bien maintenant car il en va de ta carrière et même de nos carrières a tous. »Et joignant le geste à la parole il me saisit le bras et se colle à moi… Sarah voulant s’interposer est rejetée par l’autre main de Philippe et fini contre les lavabos…apeurée.La main de Philippe me fait de plus en plus mal…mais je n’ose lui répondre tellement il me terrorise a quelques centimètres de mon visage.Philippe : « Ecoutes bien Estelle, ce soir durant la remise des lots, c‘est toi qui sera sur scène avec le big boss.Moi : Comment cela ??? Non je ne veux pas…Philippe : Tu n’as pas le choix, c’est lui qui le demande, donc tu iras !!!Moi : Mais… non..Philippe : Il a beaucoup apprécié ce que tu lui a montré avant… alors tu feras ce qu’il demande …toute la semaine tu as fait ta vedette et failli nous ridiculiser alors ratt**** toi.Moi : Bien. Mais… je ferais ce que je peux… »Résignée je ne peux que me plier à son exigence, surtout qu’il en va de nos emplois…Relâchant son étreinte, il me toise de haut en bas… mon décolleté a demi ouvert… Ma peau blanche lui attirant le regard comme la lumière…Philippe : «Sinon, Autre chose. Tu me dois aussi une faveur…Moi : comment cela ???Philippe : Oui, car je t’ai défendu et couvert devant lui… j’ai bien droit à un petit merci de ta part…je croisMoi : Mais ça ne vas pas… non…Philippe : Te fais pas prier, petite garce… aller.. Montre-moi tes seins maintenant, ou alors je déchire tes fringues et je me sers directement… tu les a bien mis sous le nez du PDG avant.. Alors montre les moi….»A côté, Sarah est paniquée, elle me regarde prise au piège et s’enfuit pour ne pas subir les foudres de Philippe qui commence déjà à la regarder avec convoitise…Ne voulant pas me retrouver nue, ou avec des vêtements en lambeau. J’accède à sa demande et doucement, tête baissée, défait les quelques boutons de mon chemiser afin du lui laisser la pleine vue sur mon ventre et ma poitrine…Philippe : « Ahhhh magnifique… c’est mieux… Viens par-là maintenant… »Honteuse, je m’avance d’un pas mais au lieu de me toucher comme je l’imagine, il me pousse dans une cabine de toilette et nous enferme.Philippe : « A genou…Moi : Philippe… non…Philippe : A genou, salope…et suce… !Moi : Mais… »Me poussant sur les épaules, mes jambes défaillent, j’obéis vaincu dans le petit espace du local… le visage à hauteur de sa ceinture… je le regarde sans agir…Puis de sa main il me pousse sur la tête mon venir frotter son sexe sur mon visage…Philippe : « Aller Estelle… vas-y … on n’a pas le temps de discuter… suce moi… »Mes mains tremblante, j’ouvre la ceinture de son pantalon… puis doucement je saisi les bords de son caleçon et l’abaisse….Son sexe épais apparait doucement et je remarque qu’il est déjà à demi en érection devant mon visage.Son gland est rond et brun, son odeur est forte. Je le regarde encore n’osant poser ma main sur cette tige veineuse et chaude qui palpite devant moi.D’une main, Philippe me pousse, me tient les cheveux et la tête… il m’ordonne d’ouvrir la bouche pendant que de son autre main me pose son sexe sur mes lèvres encore fermées…Il insiste et râle… je n’ai guère le choix … je l’accueille et il me remplit la bouche rapidement poussant un soupir de plaisir lorsque la chaleur de ma bouche lui enveloppe son chibre. Il grossit….il me maintient encore et me demande m’appliquer…Je le suce…serrant et aspirant son sexe qui durci encore entre mes joues et mes lèvres… il pousse loin, me forçant a coller mon front sur son ventre… et parfois mon nez dans ses poils pubien… il joue avec moi, et me déforme les joues pour m’humilier de sa puissance…Le bruit de ma bouche est terrible… la succion, la salive… il grossi et s’excite de me voir sous lui si docile…Ces coups de reins me baise la bouche a présent et je sais qu’il va jouir si je ne le retire pas à tant…Avec une seule main il me bloque les poignets, m’interdisant de me défendre, il coulisse sur ma langue imposant son rythme et me tenant la tête…son gland prenant toute la place et ouvrant le passage en me déformant la mâchoire.Il va venir… c’est imminent… je ferme les yeux… pour ne pas penser…Philippe : « Regarde-moi, regarde-moi salope… je vais te remplir la bouche… tu avales…tu as compris…avale »Relevant les yeux, larmoyante par sa vigueur et la profondeur de son pilier effleurant l’entrée de ma gorge. Nos regards se fixent, il se crispent et pousse ma tête contre lui avant que sa semence ne jaillisse dans ma bouche et ma gorge par gros flots épais et étouffant…Le nez contre son ventre, la bouche pleine et déformée, il jouit et profites de l’instant me laissant souiller a ses genoux. Il me bloque encore, m’obligeant à déglutir son foutre épais si je veux me libérer et respirer…Puis fatigué et estimant qu’il avait eu son dû, il se retire de moi, en agitant son sexe sur mon visage et éclaboussant mon maquillage, mon menton et mes seins des dernières gouttes de son orgasme…Philippe : « c’est bien Estelle, tu es une bonne suceuse…Moi : mmm…mais…Philippe : Ferme la ! et rhabilles toi, on est déjà en retard… et pas un mot à quiconque. »Ne me laissant pas la parole, il s’éloigne déjà, réajustant son pantalon et franchissant la porte des toilettes… Face au miroir et chancelante, je m’essuie le visage et le ventre sali par son jus… Je me réajuste rapidement et referme mon chemisier (toujours 3 boutons ouverts)… Malgré que l’une ou l’autre tâche apparaissent sur le tissu et ne laissant pas de doute sur leur provenance. Je me dépêche de partir, ne prenant même plus le temps de me rincer la bouche au lavabo…et court rejoindre Sarah, qui au dehors des bâtiments m’attends anxieuse de savoir ce que nous avons fait…A suivre…

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