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Babes

Week-End à trois Intro et chapitre 1Tout commence par une idée. Celle ci germe en fantasme parfois même en rêve. Pour que mon rêve prenne vie j’ai du attendre que les planètes s’alignent.La fameuse loi de l’attraction. A tant vouloir, on n’y croyait plus dis la chanson…. pas moi !IntroductionCombien de fois avons nous évoqué des histoires mêlant charme et plaisir.Avec mon amour j’ai toujours été à la recherche d’éveil. Son plaisir est ma locomotive. C’est aussi ma lutte, je ne sais pas comment la convaincre de mes bonnes intentions. On a beau se connaître, je ne parviens pas à lui faire partager ma passion. Ce n’est pas un échec bien sur, c’est un espoir. On peut partager beaucoup de points communs et avoir une vision différente de la sexualité. Notre couple, bien qu’assit sur de belles années d’amour et de confiance est un peu endormi dans ses habitudes, notamment suite à l’arrivée d’une petite chérie dans notre cocon.Une présentation s’impose. Je me nomme Thèo, trente deux ans, marié avec Sophie, trente deux ans également. Nous filons le parfait amour depuis une dizaine d’année. Pour me décrire je suis de taille moyenne, brun et quelques poignées d’amours. Sophie est une belle femme aux formes harmonieuses et aux cheveux brun aux reflets cuivrés coupés mi-long. Ses seins et ses fesses ne sont ni trop gros, ni trop petit, je les adores. Elle m’a toujours rendue fou. Sa grossesse a été accompagné d’une légère prise de poids, mais rien d’impressionnant contrairement à l’image qu’elle se met en tête. Une image que je combat depuis le début en lui répétant qu’elle est toujours aussi belle sinon plus.Avec notre complice j’ai toujours eu une grande connivence. Nous nous sommes confiés, nous avons compris nos envies sans chercher à nous corrompre dès notre rencontre. Pas besoin d’avoir peur quand on sait que rien ne peut arriver. Nous nous réjouissions de nos victoires et réfléchissions ensemble à nos difficultés. De cette complicité ne subsiste que des regards lubriques et des discutions amusées lors de nos rencontres. Iris est une jeune femme relativement menue, elle doit arriver à l’épaule de Sophie et musclée. Sa chevelure est un plus longue. Elle est sportive et décomplexée en apparence. Dernièrement une peine de cœur la mise à mal. Elle s’est muée en ombre, réduite à tricher et à se mentir. Nous étions donc motivée à la supporter.Qu’est ce qui nous pousse à faire certaines choses ? Ces mêmes choses que nous croyons être capable de faire sans être sur de vraiment pouvoir ?Plus j’y pense plus j’ai la sensation de rater quelques choses. Ne suis je qu’un égoïste finalement, a chercher des sensations fortes sans savoir si c’est bien ou mal pour mes partenaires. Un jour de septembre un scénario se dessine. On en a beaucoup parlé avec Sophie en plaisantant, on a pu évoqué des doutes et des perspectives formidables. En face l’envie et les possibles sont enfuis sous le spleen. Des délires passés restent cependant dans un coin. Nous savons que ses retrouvailles feront du bien. Bien sûr pour lui remonter le moral mais pour nous également. Nous organisons nos retrouvailles durant ses vacances. Les nôtres étant fraîchement terminées nous avons le moral au taquet et une belle énergie. Pile ce qu’il faut pour que cette histoire démarre bien.Nous invitions Iris à la maison. Non sans avoir planifier quelques jeux et autres activités dans les grandes lignes. On se fait un petit film. Il est clair qu’elle a besoin d’un bol d’air dans sa grisaille.De notre coté ce sera du vrai bon temps pour nous détendre et développer de nos richesses.L’impatience de son arrivée nous avait excité, même si nous n’étions pas sur de pouvoir aller jusqu’au bout. La veille nous avons fait l’amour avec une infinie tendresse, comme pour nous rappeler ce que nous étions. Que nous étions bon l’un pour l’autre et que le week-end qui s’annonce serait une preuve plutôt qu’un risque.Je n’avais pas peur, ou je refusais de le voir, tu étais presque en larme alors que je glissais en toi. Je te répétais entre deux souffle que je t’aimais assez fort pour partager un peu d’amour. Je faisais de mon mieux pour te rendre plus forte. Sophie ne disait rien mais finit pas se tendre avant de s’endormir dans mes bras.Le lendemain nous faisions comme si de rien était, nous nous concentrions comme pour une épreuve sportive, chacun dans notre imaginaire.Chapitre 1 : L’apéroComme d’habitude j’arrive le dernier. Évidement je me pose des questions toute la journée. Pourquoi j’ai tellement envie de ces situations. De quel droit je vais mentir à un ami, risquer de faire souffrir celle que j’aime ? Est ce pour le plaisir d’avoir deux belles femmes avec moi ? Es ce le danger de vivre un interdit ? Le plaisir sadique de les bousculer ? Ou encore le bonheur de nous faire découvrir de nouveaux frisons ? Et toi, que pense pouvoir faire? Seras tu dépasser tes limites ?Allé savoir, l’issue du week-end n’est que de l’inattendu. Peut être même auront elles changé d’avis …Vous êtes à jouer avec la petite, c’est l’innocence, un joli moment où vous êtes par terre toute les quatre. J’ai oublié de préciser que nous avions la chance d’avoir ankara escort une boule de poil. Cette situation simple me rassure et votre accueil avec. On se prend dans les bras, je t’embrasse, la petite aussi, notre invitée également. Vous êtes toutes les deux sur votre trente et un.Sophie porte une jolie robe noire aux fines bretelles. Elle épouse parfaitement sa poitrine, qu’on devine libre de couches superflues. Un chignon maintient fermement ses cheveux et dévoile ses douces épaules.Iris porte un legging pourpre et un haut de tailleur blanc plutôt chic. Sa chevelure ondulé est libre comme à son habitude. Bien des hommes se retourneraient sur elle dans la rue.Joie des retrouvailles donc et petit gêne également. Pas mal de temps et de changements avaient jalonnés nos vies. Nous avons eu un cadeau de la vie merveilleux, tu as changé de vie tout bonnement. Peu d’échanges entre nous trois depuis quelques mois mais toujours une sourde envie de ne pas se perdre de vue.L’apéritif permet d’en parler, de se reparler. On prend de la hauteur pour pas se prendre les pieds dans les choses dites sérieuses. Quelques bulles et la complicité s’installe réellement. Les langues de bois et les faux sentiments sont au placard. Il reste un cœur à vif et deux grands cœur. Parfois des yeux rouges et quelques pics mais notre stabilité, la douceur et la bienveillance font toujours revenir les sourires. Les banalités, le dernier Phoenix en fond, l’atmosphère du moment nous permet de nous reposer l’esprit tranquillement. Mes questions du chemin se font oublier pour me concentrer sur vous.Je vais coucher la petite, les laissant parler de choses et d’autres.A mon retour, je passe Jamiroquai puis nous passons à table. Les filles ont dressé les sushi et j’ouvre un riesling. Curieusement nous sommes relativement silencieux. Je vous regarde, pas comme la femme de ma vie et l’ex d’un pote, plutôt comme un gosse devant une boite de bonbon ou un loup devant une bergerie. Et vous me rendez ce regard, la chaleur monte sans avoir besoin d’en rajouter. Nous avons suffisamment brodé le décor virtuellement, nous nous étions dit qu’aujourd’hui nous coucherions sûrement ensemble et que le lendemain nous ferions une bonne séance puis une sortie détente. Sophie en savait un peu plus bien-sur, comment ne pas lui dire? Nous avions dans l’idée de soumettre Iris dans un gentil jeu de rôle pour nous protéger (et pour s’amuser…).Elles ont un peu de mal à soutenir leurs yeux. Pourtant elles sont tellement jolies. Nous savons tous les trois que ça va basculer, chacun résiste encore un peu pour ses propres raisons. Je mets les pieds dans le plat entre deux bouchés.-Je vous annonce le programme les filles ?-Laisse moi deviner, tu veux nous regarder nous gouiner et te branler à coté ?-Mais non il veut te prendre le cul et se faire le miens par la même occasion , dit Sophie en plaisantant.-Hé hé hé vous êtes bien pragmatiques, je suis si basique pour vous ?Je vous ai dis à chacune que je voulais vous faire de bonnes choses. Je veux vous surprendre, vous faire jouir, vous détendre (et prendre un max de plaisir).-Tu t’en crois capable ? Je suis pas sur que tu tienne la distance. Réplique Iris-Mauvaise langue, il a prévu tout dans sa tête.-Tu me connais, je me fais toujours des films. Et je sais aussi que les plans ne se passent jamais comme prévu. Pour commencer, j’aimerai qu’on se découvre un peu mieux (je pensais à la scène du parc dans Sex Intension). Ne t’inquiètes pas Iris, je t’expliquerai ou j’aimerai vous mener. D’ailleurs je t’ai concocter un petit jeu humide pour débuter la soirée ! Nous ferons l’amour comme un fou après. -Pfff, c’est quoi ton plan humide ? Me demande Iris-Bon, je vous propose de commencer. Tu vas comprendre. Comme tu es une soumise, nous prenons le pouvoir sur toi, pas pour abuser, simplement pour que tu te dépasses.-Tu es cash toi, qui te dis que je veux être ta soumise ?-Rassures toi, tu ne seras pas sa soumise, tu vas être notre soumise à tous les deux. Rebondit Sophie-Mon amour, tu auras le meilleur rôle. J’ai toujours cherché à te faire découvrir, à te proposer plus que tu demandes. Aujourd’hui on est complice. Ce sera pas le plus facile mais j’aimerai que tu te lâches. Ça va nous rapprocher.-Je crois que j’ai besoin de boire avant.-Moi aussi… dit Iris-Champagne ! On va apprendre plein de choses tous les trois ce we.-Tu es bien présomptueux, je suis pas une oie blanche au cas ou tu aurais oublié, renchérit Iris.-On va bien s’amuser, j’ai préparer quelques trucs en avances pour vous.Un blanc s’installe, est ce de la gêne ? Notre couple n’a jamais été si exposé.A voir Sophie, elle hésite à m’insulter et tout envoyer péter. Moi j’ai le cœur qui bat très vite et un petit frisson parcourt mon dos. Notre invitée rougis et n’ose plus nous regarder.Je pose mes baguettes et prends le visage de Sophie dans mes mains. Je colles mon front au siens et lui dis Je t’aime. Elle ferme les yeux et je prends sa bouche.Je l’embrasse avec conviction, d’abord je prends ses lèvres entre les miennes. Puis je les lui écartes avec ma langue et nous nous roulons un vrai patin. Nous nous mettons au diapason, ankara escort bayan je ne la libère qu’au moment où elle se relâches. Nous respirons plus vite et nous tournons presque en même temps vers elle. C’est bon pour nous et nous n’avons pas honte.Tu te penches vers Iris malgré tes peurs. Je ne vois pas de dégoût, plutôt la retenue légitime de la nouveauté. Vous vous rapprochez et faites un bisou sur le bord des lèvres. Puis un autre mieux placé. Enfin vos bouches s’activent dans une grande douceur. C’est simple et beau. Le temps s’arrête sur ce premier contact. Vous êtes plus ambitieuse que je l’imaginais, même dans mes plus beau rêves.Je fais le tour de la table pour me glisser entre vous. Mes mains passent dans vos dos, je vous entoure et te vole à sa bouche. Ta langue est si douce et sa bouche très humide. Puis j’ose aller vers cette autre bouche. Nous nous trompons mutuellement et ensemble, c’est romantique et bizarre à la fois. Iris se colle à moi, passe un bras autour de mon cou et prends la main de Sophie dans l’autre. Sa bouche est petite et nerveuse, elle entre sa langue directement et me viole la bouche. Le tension monte, je bande déjà. Tu reviens vers nous et très vite nos trois langues se rencontrent. Tout n’est que douceur et sensualité. Elles passent leurs mains sur mon torse et nous échangeons des caresses. Enfin, nous nous séparons, repu d’un baisé qui fait monter les papillons. Échantillon de la ménagerie qui arrive… -Whoua je crois que je flotte, susurre Sophie-On est tous dans le même état.-Vous embrassez bien, c’est très différent mais délicieux.On s’observe un instant puis éclatons de rire comme des collégiens pris en faute.-N’empêche tu baves beaucoup, me dit Iris-C’est pas faux, mais j’aime quand c’est généreux.-Et tout rouge aussi dis Sophie en nous souriant. On a tous le feu aux joues. Les baisers sans aucun doute sont les meilleurs aphrodisiaques.Nous avons tellement bavé que de belles auréoles sont apparues sur nos vêtements. Je vous les montres et fais glisser tes bretelles. Sa poitrine darde vers nous. C’est magnifique. Je lui vole un doux baisé au passage. Je fais de même avec notre voisine. Surprise, sa veste nous dévoile un mignon soutien gorge en dentelle rouge. J’apprécie le contraste de leurs poitrines, le naturel s’oppose au glamour.Je garde un instant ses bras derrière le dos et l’embrasse avant de la relâcher. Petite entrave, je suis sur que ça la fait fondre.Que faire, je voudrais vous sauter dessus mais j’ai peur te brusquer mon amour. Je prends sur moi de ne pas aller trop vite et cherche le dessert, non sans vous montrer comme la situation me plaît. Ma tour Eiffel semble vous plaire.Nous sommes là à nous chercher, on joue avec le dessert en se scrutant sans pudeur.-Tu es prête à t’offrir ce week-end ?-Oui, je suis prête à vous donner tout ce que je peux. Je suis votre … Soumise maintenant.-Bien, tu vas recevoir plus que tu ne l’imagines. Tu crois qu’elle va faire l’affaire ?-Oui regarde comme elle se tortille. Répond SophieJe rentre dans mon personnage. Après tout je suis le Chef !-Ne dis pas non ou pourquoi à présent. Ton mots de sécurité sera Cactus. Tu répondras à nos question mais n’en poseras pas sans y être invité. C’est bon pour vous ?-Oui ça me va. Je pince fort un téton et ne le lâche pas.-Oui maître. Je pince le second.-Oui mes maîtres. -On va rester sérieux, je voulais juste te tester. Tu peux nous appeler comme tu veux mais avec respect. Je la relâche et l’invite à passer à la salle de bain, j’y ai préparé sa première surprise.Sophie attaque le café, moi un clope et Iris sans rien avoir demandé ton lavement !Elle n’a personne pour se plaindre. Elle m”avais avoué avant de venir qu’elle serait prête à faire des folies tant que c’était safe. C’est toujours la soumise qui mène le jeu au final.En rentrant l’odeur du café me fait presque oublié ce qu’elle fait. Nous la rejoignons après quelques minutes.Plus un bruit, c’est bon signe et quel tableau ! Un cadeau de la nature, elle est nue sur le tapis, presque digne si elle n’ avait pas un tuyau qui court derrière son petit cul et une poche posé près des lavabos. Il est temps de se mettre en tenue. Je te soulage de ta robe pendouillant, passe rapidement mes mains sur ton ventre avant de recueillir tes seins dans mes mains. Ensuite je descend ton string en faisant des chatouilles sur tes fesses et tes cuisses. Tu es tellement bandante en tenue d’Eve. Nous n’avons pas le temps de jouer, j’ouvre une bouteille d’huile, m’enduis et prend les mains de ma reine pour partager l’huile.On se mets chacun à coté d’Iris pour la caresser. Nous lui rendons la vie dure en massant son ventre pour que le liquide se repende bien. Elle commences à se trémousser, je me retiens de lui mettre la main à la chatte, nous nous amusons si bien avec son ventre dur et gonflé. Le tonnerre et ses plaintes annonce la fin de l’activité. Je l’aide à se relever et nous la laissons pour la délivrance.-Viens on va s’occuper à coté, j’ai très envie de ta queue me dit Sophie.A peine la porte fermée tu me déshabilles et nous flirtons en glissant nos mains partout. Je profite de l’huile escort ankara pour masser tes seins qui m’appellent depuis avant, je fais de larges rond dessus et agace tes tétons au passage, de ton coté tu m’agrippes comme j’aime et me branles vigoureusement. Que c’est bon ! Quand j’arrive en bas tu me brûles les doigts, je suis sur que tu vas vite t’embrocher.Iris reviens à nous, plus rouge qu’avant et avec une belle banane qui plus est. -Toi tu t’es branlé !-Comment tu as deviné ? Vous avez été bon pour moi. Votre massage m’a bien excité et je crois que j’ai jamais eu le cul aussi rempli. J’en pouvais plus.-Tu as bien raison, merci pour ton aveux soumise. Mais tu seras punie pour ça ! Et plus vite que prévu dis je avec un grand sourire. Tu le sera également pour ta familiarité !Oui maître. Elle sourit en le disant, c’est toujours compliqué le jeu de la domination.-Lie lui les mains, elle sera moins tenté de faire des bêtises, je vais chercher un plug.Tu la frolles avec ta poitrine en passant derrière elle. Elle frissonne à ton contact mais se laisse guider.Tu prend ses bras en douceur mais avec fermeté, tu es dans ton personnage à ce que je vois .Je la force à mettre genoux à terre. Comme une petite fille elle se laisse dompter et regarde le sol pendant que je graisse le plug . Il est à point, brillant et gluant et sans trembler je me baisse et le pose contre son cratère. Quelques petits cercles, tu m’aides en lui ouvrant les fesses et puis je pousse. Une poussée lente mais sans retour, elle l’engouffre sans mot en un fois.-Il est bon celui-là ?-Un peu gros mais c’est toujours bon d’avoir le cul ouvert pour vous.-Bien répondu, maintenant on va faire l’amour devant toi, tu es bloquée ici et tu as intérêt à nous regarder.Sa présence est très stimulante, je bande dur et me love contre toi. Tu fais tout pour ne pas la voir, tu te concentre sur moi. C’est pas le but mais je n’en peux plus, je veux te baiser sans prendre de gant.Toi aussi tu m’attends, sans son retour tu m’aurais déjà aspiré. Je te pousse contre le lit et te demande de me prendre en bouche. Tu viens vers moi et me happe comme une friandise. Ouf, je ne respire plus, je suis suspendu à tes sucions. Tu vries ta langue et sers les lèvres contre ma verge. La meilleur chaleur qu’on puisse imaginer.Il est temps de faire mon devoir. Je me détache de ton emprise et grimpe sur le lit. Nous lui faisons face et au dessus de toi je sens ton envie rien qu’à l’odeur musquée que tu dégages. Je m’habille vite d’une capote et me colle contre tes fesses. Tu bouges de gauches à droite et de droite à gauche pour m’aider à rentrer. A la manière du plug je fais pression et ne vais qu’en avant. Tu grognes sous la pénétration et pousse pour mieux t’empaler. Notre invité nous regarde directement à présent et son derrière trahis ses désirs. Elle oscille doucement alors que je commence à prendre du rythme. Tu es si serrée, j’ai l’impression que tu me retiens quand je reprendre mon l’élan. On est en vol, hypnotisé par le coït et par la petite souris que se régale du spectacle. Elle voit ton visage crispé par la plaisir et ton buste qui se secoue en rythme. Ma transpiration qui luit et nos yeux qui la fixe. On prend notre pied pour nous mais aussi pour elle, pour la punir un peu mais surtout pour faire corps face à elle. Tu es plus glissante que d’habitude, plus bruyante aussi, elle te fais un drôle d’effet c’est sur. Nous perdons pied à force d’aller vite. On aimerait déjà être à l’étape d’après. Ta chatte s’enroule parfaitement sur ma queue, j’ai l’impression de durcir encore.Je ne peux m’empêcher de la mater, son visage est lumineux, elle aime ce qu’on fait. Elle est sage alors que nous sommes en pleine orage. Nous n’en pouvons plus de monter notre bonheur. La main de Sophie s’agite frénétiquement, recherche le climax. Ses yeux se ferment, son corps se tends comme un arc dans un cri de jouissance et elle s’écroule sur les épaules d’Iris. Encore quelques coup en caressant sa croupe et les spasmes de sa chatte me font monter. Mes couilles se serrent, j’ai la verge à son paroxysme et je la rejoints. Quel plaisir nous avons, brutal et sans pudeur. On reste figé quelques instants, derniers soubresauts de cette avalanche de sensations. Ça bourdonne dans mes oreilles, on baigne dans le coton.Je retrouve mes esprits le premier et m’échappe de ta chatte pour retrouver notre proie afin de ponctuer sa punition. Elle ne va pas aimer mais j’ai tellement envie de l’humilier encore un peu. Depuis un bon quart d’heure elle nage dans la frustration, ses seins sont tendus en avant et son derrière ne reste pas en place. Je tire la capote et la vide directement sur son visage en évitant celui de ma muse.-Tiens voilà ta récompense pour avoir gardé ta place et nous avoir autant excité.-Non fais pas ça, …………. Dégueulasse !Tu as intérêt à tout garder. Je la pince une fois de plus et ce jusqu’à ce qu’elle nous remercie pour le show et sa douche d’amour.- Merci mes maîtres.-On se fait un café demande Sophie?-Oui ma chérie, je meurs de soif. Je prends Iris sous les bras et nous t’emboîtons le pas. Iris est surprise, dégoûtée et je me régale. En revenant sur terre tu m’as regardé faire, curieusement ton regard était plus amusé que je le pensais. Tu aimes me voir aux commandes. Tu n’es plus la même depuis quelques heures, te mues tu en dom ? Que nous réserves tu pour la suite?

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